Poèmes de Gonzague

La webmaster n’a reproduit que le début des poèmes, comme un aperçu d’une oeuvre plus grande qui mériterait d’être publiée sous le format d’un livre.

Le vaccin chinois ou l’omelette covidienne

Il n’y a pas de variant chinois,

Car dans l’Empire (Rouge) du milieu

Il n’y a pas de déviant mon vieux,

Quoiqu’en crient les médias à la noix.

Car c’est bien le virus qui est chinois

Comme Mao mesdames et messieurs.

Ainsi tous les variants insidieux

Ne sont que copieurs en tapinois.

Alors de même que le Corona

Est le Grand Timonier par ses aïeux

De tous les variants de sous les cieux,

Tous les vaccins d’Occident sont sournois.

*

La protection du vaccin chinois

Est secret bien gardé et sérieux.

Même si contre une douzaine d’œufs

On est vacciné (sans avoir le choix).

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(Jour 10 sur 56)

(D’après Guy Béart,

Le Grand Chambardement)

La planète dérouille

Et tout part en quenouille

Voici virtuellement

Le grand le grand

Voici virtuellement

Le grand confinement

Un p’tit virus explose

A Wuhan on suppose

Le jour du Nouvel An

En Chine il se répand

Ça c’est préoccupant

Et Corona l’infâme

Son tour du monde entame

Et très vite corrompt

La France de Macron

Et le Covid tempête

Il n’en fait qu’à sa tête

L’Italie est à bout

Et l’Espagne à genoux

Le monde est très malade

Terminée les balades

Sous le commandement

Du grand du grand

Sous le commandement

Du grand confinement

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